vendredi 23 novembre 2012

Portique en bois : un classique revisité !


Parmi les jeux d’extérieurs, le portique en bois est un grand classique depuis des générations et il parait difficile de le faire évoluer. Depuis toujours, il est composé d’une structure support sur laquelle sont fixés des agrès.

Et bien le fabricant CHALET & JARDIN a réussi à revoir tout cela, pour faire évoluer chaque composante :
-          Les agrès : il faut bien sur proposer les classiques balançoires, échelles, vis-à-vis et toboggan, mais on trouve aussi gros un ballon suspendu, pour se balancer différemment. Et une nacelle bébé, qui permet aux plus petits de gouter aux joies de la balançoire. Et dès que l’enfant grandit, il suffit de remplacer cette nacelle par une balançoire classique ou un autre agrès.

-          La fixation des agrès : de nombreux fabricants proposent de fixer les agrès en perçant dans la poutre pour ensuite visser des crochets. Ici, la fixation se fait par un cerclage métallique qui fait le tour de la poutre est se serre grâce à un boulon. Le montage est plus facile, sans perçage et le risque de fissures de la poutre est considérablement réduit.

-          Enfin la structure bois, traditionnellement en pin du nord traité autoclave, est aussi proposée en cèdre blanc (aussi appelé Thuya occidental). Ce bois possède plusieurs avantages : il est naturellement imputrescible et ne nécessite donc aucun traitement chimique pour le protéger du pourrissement. De plus, au toucher, il offre un contact très doux et agréable, sans risque d’échardes. Enfin, esthétiquement, il est de couleur blanche grisant avec le temps, très qualitatif.

En cette fin d’année où l’on cherche des idées un peu différentes pour Noël, cet élargissement du panel disponible est intéressant. En plus, c’est aussi solide (garanties identiques) et moins cher que les grandes marques (à matériau, agrès et équivalents), un aspect non négligeable !

 

mercredi 21 novembre 2012

Récupérateur d’eau : avec les pluies d’hiver, constituez vos réserves.


Souvent, on pense à acheter un récupérateur d’eau à la fin du printemps ou en été, lorsque l’on en a besoin. Seulement, il est alors trop tard pour que celui soit plein et disponible !
C’est pourquoi la saison idéale pour acheter un récupérateur d’eau est l’automne, si l’on peut l’installer à l’abri du gel. C’est en effet en hiver et au début du printemps que les pluies sont les plus abondantes en France et c’est alors qu’il faut se constituer des réserves pour les besoins de l’été.

Les types de récupérateurs d’eau disponibles sur les marché sont très variés, aussi bien en volume qu’en esthétique.
Concernant le volume à retenir, il est défini par les critères suivants : le prix, la surface du toit qui va l’alimenter, via le raccordement à la gouttière et la place disponible à l’endroit où il va être installé.

Esthétiquement, il est encore rare de trouver des récupérateurs suffisamment réussis pour constituer un véritable élément de décor, aussi la discrétion est-elle de mise pour ces produits, qui se doivent d’être près d’un mur, car raccordés à une gouttière.
Les distributeurs proposent ainsi des cuves en résine de toutes les couleurs, pour imiter les revêtements des murs des maisons, mais aussi des récupérateurs d’eau en bois, idéaux pour s’adosser à un abri de jardin et adaptés à la surface de toit.

Enfin, on peut aussi trouver des citernes souples, produits révolutionnaires à de nombreux points de vue : l’eau y est stockée à l’abri l’air et de la lumière et, du coup, beaucoup plus saine. L’éventail de volume disponible est infini et, sous réserve d’équiper d’une pompe, on peut utiliser l’eau recueillie pour des usages ménagers : sanitaires, lave linge,… selon l'ADEME, 44% de l'eau que nous consommons ne nécessite pas dêtre potable. D'importantes économies en perspectives ! 

vendredi 9 novembre 2012

Hivernez vos plantes et continuez à en profiter !


Avec l’arrivée de l’hiver se pose le problème de la protection des plantes et arbustes qui agrémentent notre jardin. Plusieurs solutions sont possibles :
-          Rentrer les plantes dans une pièce de vie, mais cela prend beaucoup de place et nécessite des conditions particulières pour que les plantes s’y plaisent : une lumière suffisante, peu ou pas de chauffage et une humidité maintenue.
-          Maintenir les plantes dehors et les protéger avec des films d’hivernage, mais du coup, on ne profite plus du tout de ces végétaux qui sont complètement masqués et l’efficacité de ces films a des limites.
-          Abriter ces plantes dans un endroit dédié, aux conditions requises pour ces végétaux.

Cette dernière solution s’avère idéale pour les végétaux qui continuent ainsi à se développer (notamment les agrumes qui donnent en hiver) mais peut s’avérer très onéreuse, s’il s’agit de créer une véranda. Heureusement toute une palette de solutions est désormais disponible, fonction de la quantité de végétaux à protéger, du budget disponible et de l’utilisation souhaitée.
On peut ainsi protéger quelques végétaux dans une petite serre polycarbonate adossée, d'une surface au sol de 0.9m². Adossée à un mur ensoleillé et composée d’une structure très légère, elle permet de continuer à profiter visuellement de ces plantes et peut être aisément démontée dès les beaux jours.
Si l’on a besoin d’une plus grande surface, la serre NATURE de 4 à 9m² permet aussi une installation rapide et démontable. Composée de 4 murs et d’une ouverture, il s’agit d’une première véritable serre, robuste, simple à monter et à démonter, qui permet donc une installation fixe ou saisonnière.

Enfin, il existe aussi de véritable serres de professionnels, en polycarbonate ou verre, que l’on peut implanter dans le jardin mais aussi adosser à la maison et ainsi créer une pièce en plus, lumineuse et agréable, à un prix très intéressant.

Fixes ou démontables, les serres de jardin permettent de prolonger l’agrément apporté par vos plantes, vous permettent aussi de récolter par exemple des agrumes en hiver puis, au retour des beaux jours, d’utiliser une petite place pour préparer vos plants sans risques de coups de froids.